Malorèas Cranyel, dit Malocràne!

Malocràne ; ce surnnom fut donné par mon père Maloréas Zayel. Le pauvre homme avait des maux de tête effroyable car j’étais si têtu, et incroyablement farceur comme il le disait si bien.

Mon vrai nom Malorèas Cranyel. Je suis le dernier Fils de Malorèas Zayel pretre et de Maloréas Sylvéréa ma mère. Qui fut une fille de la famille Zaelireas ligné de prêtres reconnu à Quel’Thalas.

Mon manque total de magie, plutôt mon désintéressement pour celle-ci me fit m’orienter vers les armes et donc les combats au corps à corps. Ma mère qui avait comme métiers herboriste et alchimiste, me donna l’envie d’apprendre ces métiers qui sont fort intéressant. J’aime la nature et ce qui l’entoure. J’aime communier avec celle-ci. Donc c’est tout naturellement que mes métiers sont alchimiste et herboriste.

Plus jeune, vers mes 14 ans je fuyais notre demeure à Quel’Thalas pour aller regarder les paladins s’entrainer plutôt que d’apprendre la magie des arcanes et tous autres sorts.

Cinq ans plus tard je commençais mon entrainement de futur paladin. Mais Le Fléau des morts-vivants envahit Quel’Thalas Et tous furent décimés, mes parents, amis, tous fut détruit, le puit soleil aussi, tout était perdu. Ce maudit chevalier de la mort, Athas !

Je n’y échappa pas. Je mourus sous les armes moi qui venais à peine de commencer mon entrainement, débutant peut être mais la rage au ventre je me battis jusqu’à mon dernier souffle.

Je ne sais comment, je fus ressuscité mais tout était brouillé je n’arrivais plus à savoir qui j’étais. Je fus sélectionné comme chevalier de la mort d’où ma seconde vie. Je ne me souviens plus très bien, mais l’entrainement fut dur mais payant. Ma première bataille et la dernière au près du Fléau, au terme d’un ultime combat durant lequel Tirion Fordring brisera Deuillegivre, l’épée maudite du prince Arthas. Cette Lumière douce et forte nous libéra. Les chevaliers de la lame d’ébène se regroupèrent sous la bannière du généralissime Darion Mograine.

Et depuis je découvre de nouvelles terres, je vais d’aventure en aventure.